rencontre USEP : danse au CCVA

Le jour-J, un grand bain d’émotions… et d’applaudissements !

Pour nous rendre au CCVA de Villeurbanne, nous avons pris le métro B à Saxe, changé pour le A à Charpennes et sommes descendus à Flachet.

La salle était très grande et il y avait déjà des classes installées quand nous sommes arrivés. Nous étions nombreux à être excités, un peu stressés. Il y avait beaucoup d’élèves. Certains copains se sont ennuyés dans leur rôle de spectateur, d’autres ont apprécié les différentes créations, beaucoup ont aimé voir la classe de madame Balezeau et quelques uns étaient impressionnés par les portés d’une classe de CM2 ou la maitrise de leur danse robot.

Avant de passer, nous nous préparions dans le déambulatoire. C’est une grande salle très lumineuse où nous avons laissé nos chaussures, fini de nous échauffer et nous sommes donné du courage.

Nous nous sommes placés sur scène, puis Louay et Dina sont passés devant le rideau pour annoncer notre classe et notre danse au microhpone. Avant de démarrer, Mondher s’inquiétait :  « J’avais peur de faire des fautes dans ma danse et que les autres classes se moquent mais quand on a dansé, tout s’est bien passé ». Youssef commente : « On était stressé de faire notre danse et l’hélice a pris un peu de temps, mais c’était extraordinaire. » Amany dit qu’elle a aimé les couleurs de lumières. Eléane décrit : « Ça s’est hyper bien passé. À la fin, tout le monde a applaudi, on était contents. » Schahrazade s’enthousiasme : « Quand on a dansé, je me sentais libre, enfin c’était le grand jour ! » Nina explique : « Dans les coulisses, j’étais excitée de danser sur une vraie scène et devant 11 classes. » Élie conclut  : « Je me suis amusé quand on dansait. »

Les maitresses aussi ont dû monter sur scène et se mettre dans la lumière : l’animatrice de la rencontre leur a remis le diplôme de leur classe.

4 réflexions sur « rencontre USEP : danse au CCVA »

  1. Avant de danser, j’avais le trac,mais je savais que toute la classe était là avec moi.
    Je savais aussi que si on se trompait, ce n’était pas grave parce que nous seuls connaissions les pas de notre danse.

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