« Chaque jour, il y avait un poème sur la porte et j’ai adoré les lire. Il y en avait des grands, des petits, des rigolos ou des moins rigolos. » explique Itzia.
« J’ai aimé faire les poèmes. J’étais trop pressée de raconter notre poésie dans une classe. » raconte Youssef.
« J’ai aimé m’entrainer aux Brigades d’Intervention Poétique » ajoute Nahil.
J’ai aimé inventer un poème avec mon groupe et les déclamer dans les classes.
Grâce au printemps des poètes, j’ai découvert ce qu’était une vraie poésie. Ce sont parfois des jeux de mots qui produisent des émotions, ce sont des mots libres dans des phrases.
J’ai adoré réciter les poésies qu’on a créées en groupe. Quand on a fait les poèmes carrés, j’ai trouvé que c’était un peu difficile.